The Congos est un des derniers groupes jamaïcains resté dans sa formation originale depuis les années 70 et on ressent forcément cette unité, cette cohésion puissante lors de leurs concerts qui sont autant de véritables messes rastafariennes. Cedric Myton, Ashanti Roy, Watty Burnett et Talash, le dernier arrivé, sont bien de vrais rastas qui vivent et agissent conformément à l’image qu’ils véhiculent et qui sont restés proches de leurs racines et de leurs principes.
Leur notoriété s’est d’abord construite autour du mythique album Heart of the Congos enregistré au légendaire studio Black Ark de Lee « Scratch » Perry et qui contient des perles du reggae roots mettant à l’honneur leurs performances vocales comme « La La Bam Bam », « Open The Gate » ou « Congo Man » mais surtout le fameux « Fisherman » qui est considéré par le magazine Rolling Stone comme l’un des dix meilleurs titres reggae de tous les temps.
Leurs deux derniers albums Swinging Bridge et Back In The Black Ark (enregistré à nouveau avec Lee Perry) contiennent chacun des chansons intemporelles portées par des harmonies vocales exceptionnelles, « Ten Million Charriots », « Spiritual Organization », « La La Bella », « Garden of Lite » ou « Old Time Friend » pour ne citer que celles-ci.
Bercé dès sa plus tendre enfance par la richesse musicale traditionnelle et contemporaine africaine, Lidiop est né dans l’atmosphère culturelle et folklorique rythmant sa terre natale, le Sénégal. Lidiop, de son nom de scène, est un musicien auteur compositeur et interprète aux multiples facettes.
Dès son arrivée en France, il exprime ses talents scéniques en se produisant dans le métro parisien, lieu de passage et de rencontre dans l’indifférence. Au fil du temps, Lidiop accroche un vaste public fidélisé dans les Jam, les showcases et les bars dans lesquels il partage son art : du reggae à la sauce afro pop.
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